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Qu’est-ce que FoodMeUp ?
FoodMeUp est le premier SaaS (logiciel web) permettant de tirer profit au maximum de ses recettes.
À partir d’un format de recette innovant, l’outil permet aux professionnels de la gastronomie d’organiser leur base de connaissance, de gérer plannings et stocks, de passer des commandes et d’accéder à de nombreux indicateurs et analyses.
FoodMeUp, le conseil en stratégie appliqué aux métiers de bouche
En 2014, Sébastien Vassaux, le fondateur, quitte son emploi de consultant en stratégie en vue de créer une chaîne de boulangerie au Brésil. Alors qu’il passe son CAP Pâtisserie à l’Ecole de Boulangerie et de Pâtisserie de Paris, il applique à la pâtisserie ses compétences de consultant et met au point un modèle pour évaluer les coûts et la rentabilité de sa future production. Devant l’enthousiasme des professionnels du secteur, et car il n’existe aucune alternative web, aucune solution pertinente entre Excel et SAP, Sébastien décide de « pivoter » et lance FoodMeUp dont il débute le développement en Novembre 2014.
Des fonctionnalités pour simplifier la vie des professionnels
Sur FoodMeUp, les recettes ne sont pas des textes statiques mais des objets manipulables, que l’on peut inclure dans d’autres recettes sans répéter la saisie. Si l’on modifie un appareil (une sous-recette), toutes les recettes l’utilisant sont impactées, leurs coûts recalculés automatiquement.
On peut suivre les modifications des recettes dans le temps (versioning) et importer les recettes publiques pour gagner du temps de saisie. L’outil propose aussi la possibilité de travailler collaborativement sur les mêmes données en fonction de droits d’accès avancés.
FoodMeUp permet de passer des commandes directement depuis les recettes en fonction de l’état des stocks, des plannings de production et des commandes à recevoir et gère l’impression de fiches techniques dynamique. Avec FoodMeUp, un professionnel gagne 1h de travail par jour !
Il est possible d’explorer toutes les fonctionnalités gratuitement mais les recettes restent publiques. Les professionnels attachés au caractère privé de leurs recettes basculent sur une offre payante avec un abonnement à 19€ HT par utilisateur par mois.
Accéléré au NUMA, le premier accélérateur français
Depuis, FoodMeUp a été sélectionnée par NUMA, le premier accélérateur de start-ups en France. Coachée par les meilleurs mentors, FoodMeUp s’est recentrée sur son cœur de valeur et a obtenu ses premiers succès
commerciaux. Aujourd’hui et moins de 3 mois après son lancement commercial, FoodMeUp compte plus de 300 membres. « Plus de 650 candidats ont postulé au programme d’accélération. FoodMeUp qui est l’une des 22 startups retenues a réussi à en tirer le meilleur. 480k€ levés avant même la sortie du programme, cela annonce un futur brillant » confirme Marie Vorgan Le Barzic, la CEO de NUMA.
Une vision disruptive
Les nouvelles technologies sont de plus en plus présentes dans le secteur des métiers de bouche, la FoodTech est en plein essor. Cette innovation touche principalement le grand public ou l’aval de la chaîne de valeur. Peu de startups FoodTech s’attaquent au B2B et celles qui le font se focalisent essentiellement sur les outils de promotion de l’offre.
Soutenir de jeunes pousses innovantes de la FoodTech s’inscrit parfaitement dans notre stratégie numérique. Accueillir FoodMeUp au sein notre de notre programme d’open-innovation permet de décloisonner notre modèle grâce à l’intégration de nouvelles technologies structurantes. Nous souhaitons accompagner le développement de FoodMeUp et contribuer ainsi à l’éclosion d’un écosystème dont toute l’industrie bénéficiera, explique Philippe Salle, Président et CEO d’ Elior Group. »
L’apport d’Elior que nous cherchons à compléter via une autre levée de 500k€ nous permet de consolider l’équipe qui travaillera à court terme à l’optimisation de la plateforme actuelle (UX, performances et fonctionnalités). Imaginez le Trello ou le GitHub de la recette. Mais cela ne constitue qu’un cas d’usage de notre technologie (schéma de données innovant, algorithmes, machine learning). Nous démultiplierons ensuite les cas d’usages de cette technologie en ouvrant notre système au moyen d’API. Nous recherchons pour cela des développeurs symfony2, un directeur marketing et commercial et des stagiaires sur ces mêmes branches »
(Sébastien Vassaux).
Source : Communiqué de presse
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