Les actionnaires financiers de la société I.E.L renforcent les fonds propres et quasi fonds propres d’I.E.L à hauteur de 1,5 million d’euros réparti de la manière suivante : 1 million d’euros par Bpifrance et 500 000 euros par Esfin Participations. Le financement apporté sera notamment destiné à la montée en puissance de la filiale Odipure dans le traitement de l’eau et la méthanisation ainsi qu’à l’exécution des appels d’offres de la Commission de Régulation de l’Energie remportés récemment.
Fondé à Lannion en 2004 par Loïc Picot et Ronan Moalic, I.E.L à l’origine spécialisé dans le développement, l’installation et l’exploitation de projets éoliens, s’est développé également dans le photovoltaïque, s’inscrivant parfaitement dans la transition énergétique. En 2011, I.E.L est entré sur le marché très porteur de la méthanisation, relais en forte croissance du groupe. La société, qui s’est imposée comme l’un des principaux acteurs indépendants de la zone Grand Ouest, emploie désormais près de 40 personnes et connaît aujourd’hui une croissance soutenue et maîtrisée, avec un chiffre d’affaires en constante évolution grâce à ses quatre activités principales :
- Le développement de projets éoliens et solaires (I.E.L Développement)
- La production d’électricité, vendue à EDF (filiales d’I.E.L Exploitation)
- L’installation clés en main de centrales solaires en toitures et au sol (I.E.L Etudes & Installations)
- Et enfin, l’installation clés en main d’unités de méthanisation et de traitement des eaux (filiale Odipure)
Fort de ses dix années d’expérience, I.E.L se différencie de ses concurrents par un positionnement de producteur d’énergie qui soutient son métier d’installateur et développeur, ainsi que par la possibilité, sur chaque projet, d’investir pour son propre compte ou de réaliser une prestation pour un tiers. Ainsi, le groupe se positionne comme un opérateur multi-énergies propres du Grand Ouest avec trois solutions d’énergies renouvelables qui obéissent à des cycles différents et des savoirs faires éprouvés.
Dans un contexte désormais plus favorable que les années précédentes, marquées par le moratoire photovoltaïque, les résultats d’I.E.L devraient rebondir en 2013 pour dégager un chiffre d’affaires de l’ordre 11 millions d’euros, en hausse de plus de 50%.
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