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En ouvrant son capital à ses clients et aux particuliers en même temps qu'à des fonds d'investissements, SPARTAN a réussi une levée de fonds d'un type particulier pour un montant d'un million d'euros.
Ses objectifs : embaucher, se développer à l'international et étendre sa gamme de boxers anti-ondes. Un programme ambitieux pour ce locataire de Station F dont le produit phare connait un succès retentissant !
SPARTAN est née fin 2015 et produit des boxers high-tech qui protègent la fertilité et la santé de leurs porteurs des ondes des téléphones portables et WiFi.
Misant sur l'importance de la santé et de la prévention sur notre consommation et nos réflexes aujourd'hui, SPARTAN se développe à grande vitesse sur un marché nouveau.
Une levée de fonds en deux parties auprès de deux publics
Après une 1re partie de levée de fonds de 500 000 € en juillet 2017 auprès de Scientipole Initiative (devenu Wilco) et de Business Angels issus du réseau de l'Incubateur HEC, SPARTAN a ouvert son capital à ses clients et aux particuliers sous forme de crowdfunding.
La start-up, qui visait initialement 750 000 € à la clôture de l'opération, vient de boucler la 2e partie de cette levée de fonds, à hauteur d'un million d'euros.
Les premiers investisseurs étaient essentiellement des entrepreneurs et les experts en marketing, communication et création de marque.
Une levée de fonds d'un type particulier donc, avec l'entrée au capital de la holding de deux types d'investisseurs :
Des investisseurs extérieurs : fonds d'investissement et Business Angels : la BPI, Wilco (ex-Scientipole), et des Business Angels des réseaux de l'ESCP, de l'INSEAD et d'HEC Paris.
Ses clients et le grand public, à travers la plateforme Sowefund, très enthousiasmés par le projet et désireux de participer au développement d'un produit qui provoque un véritable engouement
Rappelons que SPARTAN a toujours été très proche de sa communauté et a pu lancer sa première production grâce à une première campagne de crowdfunding en janvier 2016.
Arthur Menard, Thomas Calichiama et Pierre-Louis Boyer, les trois fondateurs, tous trois passionnés par la santé et les nouvelles technologies et issus d'HEC Paris, d'AgroParisTech et de l'ESPCI, restent très majoritaires.
2018, l'année de l'internationalisation et de l'extension de la gamme
Grâce à cette levée de fonds SPARTAN ambitionne de :
- étoffer l'équipe pour supporter leur croissance accélérée,
- développer l'international avec l'ouverture d'un bureau à New York, en cours,
- étendre sa gamme de boxers (nouvelles collections, nouvelles couleurs, innovations...),
- continuer à étendre la notoriété de marque de SPARTAN.
La technologie WaveTech, propriété issue de la R&D de SPARTAN
SPARTAN a créé, développé et breveté une technologie unique au monde, « WaveTech », qui est certifiée par le laboratoire MET aux Etats-Unis et se compose de fibres d'argent pur et de coton.
Grâce à cette technologie à la fois très innovante et très confortable, le boxer SPARTAN bloque plus de 99,9% des ondes des téléphones portables et wifi et protège ainsi la santé et la fertilité des hommes qui le portent.
La start-up a été un des tous premiers locataires de Station F, elle ambitionne de bousculer les standards des sous-vêtements masculins et de faire des boxers anti-ondes un produit à destination du plus grand nombre.
A propos de SPARTAN :
Créée par Arthur Ménard, Pierre-Louis Boyer et Thomas Calichiama en septembre 2015, SPARTAN est une start-up française qui conçoit, fabrique et distribue des boxers high-tech qui protègent la fertilité et la santé masculine. Grâce à sa technologie brevetée WaveTech, certifiée par le laboratoire MET aux Etats-Unis et composée de fibres d'argent et de coton, le boxer SPARTAN bloque plus de 99 % des ondes des téléphones portables et Wi-Fi. Depuis une première campagne de crowdfunding réussie en janvier 2016 qui leur a permis de lever $20 000 pour lancer une première production, la startup a levé 1 000 000€ en Janvier 2018. L'équipe de SPARTAN a fait partie des premiers locataires de la très emblématique Station F, créée par Xavier Niel.
Source : Communiqué de presse
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